Le chevet de l’abbatiale était une œuvre audacieuse du gothique rayonnant, avec des piles et des arcs-boutants d’une grande minceur, dégageant des baies particulièrement larges. Les visiteurs du 18e siècle admiraient son architecture délicate.
Derrière vous, en haut du parc, la terrasse du château de Saint-Maur, disparu à la Révolution : c’était un château des 16e et 17e siècle, construit par l’architecte Philibert de L’Orme pour l’évêque Jean du Bellay, agrandi par Catherine de Médicis puis passé aux princes de Condé. Sous la terrasse subsiste une galerie souterraine. Au point le plus haut du parc, un menhir en grès de 7 tonnes.