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Chapelle de La Grave

Toulouse

septembre 2022
L'image montre un groupe de personnes rassemblées autour d'un grand écran tactile plat, installé dans un espace muséal. On peut voir deux adultes et un enfant regardant attentivement l'écran, qui semble afficher des informations ou des images, probablement liées à une exposition. Un autre adulte, en arrière-plan, observe également la scène. L'environnement est sombre, avec des éclairages chaleureux qui mettent en valeur les détails architecturaux de la salle. L'ambiance semble conviviale et engageante, parfaite pour la découverte culturelle.

Point emblématique du quartier Saint-Cyprien de Toulouse, la chapelle de la Grave a été édifiée au XVIIIe siècle sur un banc de gravier déposé par la Garonne, d’où elle tire son nom. Son dôme, tel un véritable phare, attire les regards des habitants, aussi bien de jour que de nuit, lorsqu’il s’illumine de mille feux.

Cette image montre une vue paisible d'une ville au bord de l'eau. On peut apercevoir un pont élégant, des bâtiments historiques avec des façades en briques, et un dôme majestueux en arrière-plan. L'eau s'écoule doucement avec des petites chutes, tandis que la lumière du soleil crée une ambiance chaleureuse, suggérant un moment agréable, probablement au crépuscule. Le paysage semble harmonieux, avec des arbres verdoyants ajoutant une touche de nature à la scène urbaine.

Nous avons développé, avec nos amis de Mosquito et Animaviva, trois tables tactiles. Comme à notre habitude, ces développements sont réalisés en technologies Web avec le CMS SPIP.

Histoire, évolution et architecture

Ce premier dispositif, en 3 langues (français, anglais, espagnol), est particulièrement riche, et propose plusieurs interfaces très différentes :
• une interface à slider vertical présentant l’histoire de l’hôpital ; un pointeur rouge se déplace à l’écran pour indiquer les localisations géographiques ;
• une visite panoramique à 360° ;
• un slider vertical présentant, cette fois, des édifices comparables ;
• deux interfaces vidéo.

Témoignages et confidences

L'image montre une interaction entre deux enfants et un adulte devant un écran interactif. L'écran affiche un homme qui semble s'adresser à eux, peut-être en partageant une histoire ou une explication. L'environnement semble être à l'intérieur d'un bâtiment ancien, avec des murs en pierre et une porte en bois en arrière-plan. Les enfants se tiennent près de l'écran, captivés par ce qu'ils voient. L'adulte, qui est légèrement penché en avant, semble également intéressé par le contenu diffusé.

Ce dispositif disponible en 3 langues, également accessible en LSF, présente des vidéos d’entretiens avec les responsables du projet (architecte, historien·nes, professeur de médecine), ainsi qu’une collection d’enregistrement de témoignages très émouvants de personnels et d’habitants du quartier de l’ancien hôpital.

L'image montre une interface numérique avec plusieurs sections vidéo. Chaque section présente un témoignage sur l'histoire de l'hôpital de La Grave. On y voit des têtes parlantes de différents intervenants qui discutent de divers thèmes tels que : 1. **L'escalade du dôme avec l'architecte** - Un sujet lié à la chapelle de l'hôpital. 2. **L'échec et l'ambiguïté du Grand Enfermement** - Une discussion historique sur cette période. 3. **La médicalisation progressive de l'hôpital** - Un témoignage sur l'évolution des soins. 4. **L'hôpital de La Grave au Moyen Âge** - Exploration de son histoire médiévale. À droite, un encadré mentionne que ces vidéos sont uniquement disponibles en français, avec la réalisation par Benoît Bories et une mention d'un médecin de l'hôpital. L'ensemble donne une impression de richesse historique et de reconnaissance du patrimoine.

En 1800, pendant la période du « Grand enfermement »

Ce troisième dispositif présente un plan d’époque interactif, sur trois étages, doté de points d’intérêt explicatifs.

L'image présente un plan d'un établissement, probablement historique, daté autour de 1800. On y voit différentes zones marquées, comme des "magasins", des "ateliers", un "asile psychiatrique", un "prison", et d'autres quartiers tels que des zones réservées aux femmes et aux hommes. Des lignes relient ces espaces, indiquant la configuration et l'organisation du lieu. Un point bleu semble désigner un emplacement spécifique sur le plan. Ce document évoque un contexte lié au "Great Confinement", une période durant laquelle des institutions ont été établies pour la gestion des malades et des personnes considérées comme indésirables.